Saturday, August 19, 2006

le jour d'après

j'étais en dehors de tout à vancouver prêt à démarrer un nouveau film et du coup un peu loin, c'est bien de savoir que bart et moi et julie ne seront plus les seuls à parler du film. il y a plusieurs façons de faire un film. Voilà la première---la façon de ressentir un personnage sur le tournage avec d'autres personnages et les gens qui les jouent, votre vie à ce moment et à cet endroit, il y a votre propre experience lorsque vous regardez le produit fini, puis il y a la sortie au public, puis le lent processus du film qui prend sa place dans la longue histoire du film. Je ne sais quel est le stade qui apporte le plus d'anxiété et de stress; chacun apporte son lot de terreurs et de joies; mon sentiment est tout le monde n'est pas heureux face à la critique concernant le film . c'est dommage. mais nous ne faisons pas des films pour les critiques. nous les faisons pour qu'une large audience puisse les voir et passer un bon moment, rire, pleurer etc. il est facile d'attaquer un film pour ce qu'il n'est pas. je suppose que cela fait du bien d'être excité à propos de quelque chose comme 'Snakes on a plane' parce qu'alors cela donne l'impression que la fabrication d'un film pourrait être à la portée de tout le monde. peut être que tout le monde peut. j'espère que les gens verront ce film avec l'esprit avec lequel il est proposé---un bon moment, rires, peut être un moment d'empathie ou 3---et peut être du désappointement légitime (qui sait---c'est certainement juste) parce qu'à ce stade c'est le bouche à oreille qui porte ce film. pas les voix qui dénigrent. les voix qui comptent. les votres. merci de nous rejoindre. d


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